Le gouvernement japonais devrait demander aux régions productrices de riz de mesurer le taux de radiation de leurs cultures avant et après la récolte.
Le gouvernement prévoit de fournir cette semaine aux autorités locales des détails concernant ces tests dont l’objectif est d’assurer l’absence, dans le riz mis sur le marché, de césium radioactif provenant potentiellement de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi.
Si le riz présente des niveaux de césium radioactif supérieurs aux limites de sécurité, il sera suspendu de vente, ont annoncé les autorités gouvernementales.
Les six préfectures de la région du Tohoku, dans le nord du Japon, ont décidé de soumettre leur riz à des tests de radiation.
La préfecture de Tokyo, ainsi que douze autres préfectures, ont également annoncé qu’elles procéderaient à des tests ou qu’elles en considéraient l’idée.