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<div class=’rss_texte’><p class="spip">La réunion de la Commission baleinière internationale (CBI) s’est terminée vendredi soir par un statu quo entre pays chasseurs et défenseurs de l’écologie. Il permettra au Japon de poursuivre la "chasse scientifique" avec un quota annuel inchangé de mille cétacés.</p> <p class="spip">À Santiago, les 80 pays participants, dont la Suisse, sont seulement parvenus à se mettre d’accord sur la formation d’un groupe de travail, mais pas sur la création d’un sanctuaire de baleines dans le sud de l’océan Pacifique. Un tel site était réclamé par de nombreux pays hostiles à la traque aux cétacés, en particulier les pays latino-américains.</p> <p class="spip">Pour certains écologistes, cet accord sur la formation d’un groupe de travail permet d’éviter de présenter des motions en faveur de la reprise de la chasse commerciale, tout en maintenant un semblant de dialogue.</p> <p class="spip">La CBI, qui a vu le jour en 1946, a été chargée au départ de régulariser la chasse à la baleine. Mais au fil des ans la commission a pris position en faveur de la conservation des espèces jusqu’à voter en 1986 un moratoire interdisant la chasse commerciale.</p> <p class="spip">Toutefois, malgré le moratoire, plus de 30’000 baleines ont été tuées depuis 1986 sous couvert de "chasse scientifique". Le Japon tue chaque année un millier de baleines au nom de cette dérogation.</p> <p class="spip">Source : ATS</p></div>