Les eaux poissonneuses du Japon attire de nombreux navires mais l’Agence de la pêche japonaise souhaite plus de moyen pour renforcer la traque de ceux dans l’illégalité.Ces dernières années, le nombres de bateaux de pêche des pays voisins, en particulier de Chine et des 2 Corées, sont de plus en plus nombreux à violer la zone économique exclusive japonaise pour y pêcher dans l’illégalité.
Pour la prochaine année fiscale, qui commencera en avril 2018, l’Agence de la pêche japonaise demande donc une enveloppe de près de 21 milliards de yens, soit 161 millions d’euros. Avec cet argent, elle souhaite remplacé 2 des 37 navires qu’elle affrète à des compagnies privées par des bâtiments avec de meilleurs radars et une meilleure manœuvrabilité. Elle souhaite également affréter un nouveau vaisseau. Cela serait la première augmentation de sa flotte depuis 4 ans.
En plus de cela, l’Agence possède sa propre flottille de 7 navires. Elle voudrait, d’ici 2021, remplacer l’un d’eux par un nouveau bateau de plus grande taille.