L’arrêt de la production devrait durer « environ deux semaines » selon le constructeur japonais.
Nous vous en parlions plus tôt dans nos colonnes, Nissan a découvert des défaillances et des irrégularités dans sa procédure d’inspection des véhicules. Un mois plus tard, l’enquête a avancé, et ces contrôles sont toujours effectués par des techniciens non-agréés dans trois des six usines japonaises, selon Nissan.
Conséquence : 34.000 véhicules, produits entre le 18 septembre (date de la découverte) et le 20 octobre seront ré-inspectés et la production japonaise sera suspendue.
A noter que plus d’un million de véhicules vont également être rappelés, une opération qui devrait coûter près de 25 milliards de yens, soit environ 189 millions d’euros.
Le constructeur japonais n’en pas encore terminé avec ce scandale visiblement…