Dans la revue de presse de ce jeudi 2 juillet, nous aborderons : le nombre de disparitions de personnes démentes, un Japonais accusé d’espionnage par la Chine libéré, et la mise en place de nouveaux centres de test au coronavirus à Tôkyô et Ôsaka.
Record de disparitions de personnes démentes
Au total, 17 479 personnes atteintes de démence ou suspectées de l’être ont été portées disparues en 2019. Le plus grand nombre depuis que les données ont commencé à être collectées en 2012. Par rapport à 2018, le chiffre est en hausse de 552 personnes et d’environ 80% par rapport à 2012. Afin de faire face au problème des personnes disparues, la police a établi un réseau avec les gouvernements locaux et les entreprises privées pour partager les informations sur l’ensemble du territoire.
Un Japonais arrêté par la Chine pour espionnage libéré
Un Japonais, qui avait été condamné à une peine de prison en Chine en 2018 pour espionnage et d’autres accusations, a été libéré et est arrivé au Japon jeudi, a annoncé le gouvernement. Tôkyô a nié le fait que l’homme se soit livré à des pratiques d’espionnage. Les détails de sa condamnation n’ont pas été divulgués par Pékin. Parmi les citoyens japonais détenus en Chine pour espionnage depuis 2015, l’homme de 59 ans est devenu le premier à retourner dans l’Archipel après avoir purgé une peine complète.
Centres de test pour le coronavirus dans des aéroports
Le Japon prévoit de mettre en place de nouveaux centres de test pour le coronavirus. Ils seront situés à l’extérieur des deux aéroports de Tôkyô, Haneda et Narita, à l’aéroport international du Kansai, près d’Ôsaka, ainsi que dans le centre des villes. Ces nouvelles infrastructures font suite à la décision du pays d’assouplir ses restrictions de voyage. Les stations de quarantaine des aéroports effectuent actuellement environ 1 000 tests par jour, les résultats mettant un ou deux jours pour arriver. Ces nouvelles installations devraient faire augmenter le nombre de tests quotidiens à plus de 4 000.