Dans la revue de presse du lundi 22 novembre, nous aborderons : le retard de l’agence pour l’enfance, l’amélioration pour les travailleurs étrangers et le lâché d’anguilles.
Mauvaise coordination
Le gouvernement a décidé de reporter la création d’une agence pour superviser les politiques relatives aux enfants à l’année 2023 au plus tôt. Le report de la création de l’agence, initialement prévue pour l’exercice 2022, intervient alors que des difficultés sont apparues dans la coordination entre les organisations gouvernementales concernées. Samedi, le Premier ministre Fumio Kishida a déclaré que le gouvernement « poursuivra ses efforts pour lancer l’agence pour l’enfance » et a réaffirmé son intention de soumettre des projets de loi connexes à la Diète l’année prochaine.
Besoin de travailleurs
Le Japon envisage d’élargir l’éventail des domaines pour les travailleurs étrangers qualifiés pour les emplois ouvriers. Cette décision vise à remédier à une grave pénurie de main-d’œuvre au Japon. Si cette nouvelle politique est mise en place, elle améliorera les conditions des résidents ayant le statut de travailleur qualifié, permettant à un plus grand nombre d’entre eux de rester davantage et de faire venir leur famille. Ce visa concerne 14 domaines, tels que la construction, l’agriculture ou les soins infirmiers, et a été mis en place en 2019.
Lâché d’anguilles
Un groupe de la ville de Hamamatsu, département de Shizuoka, travaillant pour augmenter la population d’anguilles sauvages, a relâché 215 poissons adultes dans la mer. Ils espèrent ainsi que davantage d’anguilles reviendront après leur frai à des milliers de kilomètres. Depuis 2013, le groupe relâche des anguilles deux à trois fois par an, avec un total de 5 933 poissons à ce jour.