Dans la revue de presse de ce mercredi 8 juillet, nous aborderons : des pluies torrentielles qui frappent le centre du pays, le Japon, le Canada et les États-Unis qui s’inquiètent pour Hong Kong, et enfin un supercalculateur qui aide à réduire la propagation du coronavirus.
Pluies torrentielles au centre du pays
Mercredi, des pluies torrentielles ont inondé le centre du Japon. Cela a incité le gouvernement du département de Gifu à demander à 219 000 habitants d’évacuer. L’Agence météorologique a émis le niveau d’alerte le plus élevé pour fortes pluies dans plus de 20 municipalités des départements de Gifu et de Nagano. Les berges de la rivière Hida, gonflée par les pluies, ont été emportées, provoquant l’effondrement d’une partie d’une route nationale. Des dizaines de maisons ont également été inondées. Les fortes pluies se sont déplacées depuis Kyûshû, où le nombre de décès s’élève, pour l’instant, à 56.
Inquiétude concernant Hong Kong
Mercredi, le Japon, les États-Unis et l’Australie ont exprimé leur « profonde inquiétude » face à la récente mise en œuvre par la Chine d’une loi radicale sur la sécurité à Hong Kong. Celle-ci risquerait de restreindre les droits de l’Homme et les libertés sur le territoire. De nombreux pays, y compris ces trois nations, ont exprimé leurs préoccupations concernant la législation controversée adoptée la semaine dernière. Elle vise la sécession, le terrorisme et la collusion avec les forces étrangères. Les trois alliés ont confirmé ce point de vue lors d’une réunion par liaison vidéo de leurs ministres de la Défense.
Un supercalculateur pour réduire la propagation du covid-19
Des modèles de superordinateurs simulés au Japon pourraient aider à réduire le risque de nouvelles infections par un coronavirus. La récente étude du géant de la recherche Riken utilise le superordinateur le plus rapide du monde, le Fugaku. Il simule la façon dont le virus se déplace dans l’air. Il a ainsi recommandé plusieurs façons de réduire les risques d’infection dans les lieux publics. Par exemple, l’ouverture des fenêtres des trains peut augmenter la ventilation de deux à trois fois, réduisant ainsi la concentration de microbes ambiants.