Dans la revue de presse de ce vendredi 21 février 2025, voici nos actualités : l’aide de Trump pour l’affaire des enlèvements par la Corée du Nord, le soutien du Japon à l’Ukraine et pour un apaisement, ainsi que Taïwan et Palestine comme origines possibles.
Japonais enlevés
Le Premier ministre Shigeru Ishiba a assuré aux familles des Japonais enlevés par la Corée du Nord que Donald Trump s’était engagé à soulever la question en cas de reprise des discussions avec Pyongyang. Ishiba, qui a obtenu ce soutien lors d’une rencontre en février à Washington, a promis d’utiliser tous les moyens possibles pour résoudre cette affaire. Cette question devient encore plus urgente après le décès d’Akihiro Arimoto, père d’une victime. Sakie Yokota, mère de Megumi Yokota, a appelé à un sommet avec la Corée du Nord pour permettre le retour des otages encore retenus.
Soutien à l’Ukraine
Le ministre des Affaires étrangères japonais, Takeshi Iwaya, a réaffirmé son soutien à l’Ukraine lors d’une réunion du G7 à Johannesburg, dénonçant la guerre comme une menace pour l’État de droit. Il a souligné l’importance de s’opposer à Moscou et promis une aide à la reconstruction. Alors que Donald Trump a tenu des propos controversés sur l’Ukraine, Tôkyô s’inquiète d’un affaiblissement du soutien américain. Iwaya a également condamné la coopération croissante entre la Russie et la Corée du Nord, appelant à une réponse internationale forte. Enfin, il a plaidé pour le dialogue au sein du G20 malgré les tensions diplomatiques.
Citoyens naturalisés
À partir du 26 mai, les citoyens japonais naturalisés originaires de Taïwan pourront inscrire « Taïwan » plutôt que « Chine » comme origine dans leur registre familial, grâce à une révision du ministère de la Justice. Cette modification s’applique aussi aux conjoints et enfants étrangers adoptés. De plus, « Palestine (Cisjordanie et Gaza) » sera officiellement reconnue. Ce changement harmonise les registres familiaux avec d’autres documents administratifs. Une autre réforme impose l’ajout de la lecture phonétique des noms, avec une période de correction jusqu’en mai 2026. Après cette date, toute modification nécessitera une approbation du tribunal de la famille, sauf pour une première rectification.