Dans la revue de presse de ce mercredi 6 mai, nous aborderons : la baisse des contaminations journalières au Japon, puis le classement de la liberté de la presse, et enfin une série de séismes dans le Kantô.
Baisse des contaminations
Selon le gouvernement japonais, l’Archipel a connu 120 nouvelles contaminations sur la journée du mardi 5 mai. Il s’agit du plus bas depuis le mois d’avril. Le nombre de cas dépasse les 16 000 alors que le nombre de décès est de 579, soit 10 de plus que la journée précédente. Dans la capitale, c’est 58 nouveaux cas qui sont apparus dans la même journée. Le nombre de nouveaux cas y reste sous la barre des 100 pour le troisième jour consécutif. Le nombre total d’infections à Tôkyô est de 4 710, le plus élevé parmi les 47 départements japonais.
Liberté de la presse
Selon le classement mondial de la liberté de la presse organisé par l’ONG Reporters sans frontières, le Japon se classe à la soixante-sixième place, une de mieux que l’année dernière. La norvège est en tête, pour la quatrième année consécutive, d’un classement dominé par les pays nordiques, comme la Finlande, le Danemark et la Suède. La Corée du Nord est, au contraire, dernière du classement. Parmi les principaux voisins du Japon, le Chine est à la cent-soixante-dix-septième place et la Corée du Sud à la quarante-deuxième. La France, quant à elle, prend le trente-quatrième place, deux de moins que le classement 2019.
Séismes en série
Deux séismes ont récemment secoué la région du Kantô, où se situe la capitale nippone. Le premier a eu lieu lundi 4 mai à 22h07. D’une magnitude de 5,5 sur une échelle allant jusqu’à 9. Son épicentre se trouve dans la partie nord-est du département de Chiba, à l’est de Tôkyô. Le 6 mai à 01h57, c’est un séisme de magnitude 5 qui secoue la région avec un épicentre situé, cette fois-ci, dans le nord-ouest de Chiba. L’intensité des deux séismes a été relevée à 4 sur une échelle de 7. Aucune alerte au tsunami n’a été lancée et ils ont pu être ressentis jusqu’à Tôkyô. Aucune dommage matériel ou humain n’est à relever.