La MCJP propose une conférence sur le sujet « Clemenceau et le Japon : l’art pour horizon » avec Matthieu Séguéla, docteur en histoire (Sciences Po Paris), en tant que conférencier.
Georges Clemenceau n’a pas seulement été un homme d’État ami du Japon dans le domaine politique, diplomatique et journalistique. Il s’est aussi passionné très tôt pour l’art de ce pays. Singulier par rapport au japonisme de ses contemporains, celui de Clemenceau est foisonnant. Il est fait d’amitié avec ses deux alter ego, le prince Saionji et le peintre Monet. C’est ce Clemenceau esthète et acteur du dialogue des cultures que Matthieu Séguéla vous invite à découvrir dans une conférence riche en iconographies diverses.
Pour plus d’informations :
- Date et horaire : mardi 29 avril à 18h30
- Lieu : MCJP (petite salle, RDC)
- Conférencier : Matthieu Séguéla
- Entrée libre sur réservation au 01.44.37.95.95
Merci pour cette annonce. Une petite erreur cependant: on dit plutôt « il s’est lié d’amitié », et non « il s’est fait d’amitié ».
Ah, désolée j’avais mal lu la phrase… Oubliez mon commentaire précédent !
Pas très clair quand même comme tournure de phrase.
Par « il est fait d’amitié avec… », l’article veut dire que « le japonisme de Clémenceau est fait d’amitié avec ses deux alter ego », dans le sens où son intérêt pour ce mouvement s’est développé en côtoyant ses deux amis.
La façon dont Clémenceau approche le japonisme en tant qu’amateur éclairé se distingue de ses contemporains, et cette conférence nous invite à la découvrir…
…C’est bien ça?
Qu’est ce que le japonisme en fait?
J’ai toujours pensé qu’il s’agissait d’un mouvement artistique, d’une influence inspirant les artistes.
S’agit-il plus généralement d’une passion pour les arts du Japon qui toucherait quelqu’un au delà de toute expression artistique personnelle?
Je n’ai fait ni les Beaux Arts ni Sciences Po, alors j’hésite… 😛
Pour répondre à vos questions, je crois que vous avez bien compris le sens de l’expression employée.
Concernant le japonisme: il s’agit à la fois d’un mouvement artistique et d’une influence inspirant les artistes (je peux en témoigner, auteur d’un roman en attente d’édition).
Et, mieux encore, il s’agit d’une passion pour le Japon (la mienne est lucide, néanmoins), dans sa totalité.
Je n’ai moi-même ni étudié les beaux-arts, ni les « sciences politiques » (si ces dernières existent réellement…); cela ne fait pas de moi un être inférieur pour autant.
Merci cher thomrogdev!
J’apprécie que vous ayez pris en considération mes interrogations.^^