Dans la revue de presse de ce mercredi 10 avril, nous aborderons : un accord entre la NASA et le Japon, une nouvelle organisation pour gérer les pandémies, et enfin, le métier de rêve des enfants japonais.
Astronautes japonais sur la Lune
Un accord va être signé entre la NASA et le Japon dans le cadre d’un programme d’exploration de la Lune. Le ministre japonais de l’Éducation, de la Culture, des Sports, des Sciences et de la Technologie, Masahito Moriyama, a annoncé mardi qu’il se rendrait dans la semaine aux États-Unis pour conclure cet accord. Le programme Artemis veut envoyer des astronautes sur la surface de la Lune en 2026, une première depuis 50 ans. Le Japon avec cette entente, pourrait envoyer deux astronautes en voyage sur le satellite. L’Archipel fournit également un rover lunaire, développé par Toyota, dans lequel les astronautes pourront conduire sans combinaison, et même y dormir.
Nouvelle gestion des pandémies
Le Japon va créer une nouvelle organisation pour conseiller le gouvernement lors d’épidémies majeures. Elle sera lancée en avril 2025 a annoncé le ministre de la Santé. Cette décision fait suite aux critiques de la gestion de la pandémie de COVID-19. Cette organisation combinera les fonctions d’analyse, de recherche et de surveillance des maladies. Actuellement, ces trois fonctions sont assurées par des organismes différents. Cette fusion devrait permettre à la nouvelle institution de répondre de manière globale à chaque étape, de la collecte des données à la prestation des soins.
Boulanger, le métier de rêve des enfants
L’emploi de rêve pour les élèves entrant en première année d’école primaire est de travailler dans une boulangerie ou une pâtisserie. C’est ce que rapporte une enquête menée par le fabricant de sacs pour écoliers Kuraray. En tête des classements, aussi bien pour les garçons que pour les filles, se trouve donc en premier boulanger/pâtissier, suivi en second par policier et en troisième place athlète. Le rôle de chercheur, en particulier autour des dinosaures, a connu un regain de popularité et entre dans le top 10. La volonté d’être un « Youtuber », qui avait gagné en popularité ces dernières années, a connu un déclin, passant de la 9eme place à la 14eme.