Dans cette revue de presse du mardi 11 décembre nous aborderons : une école de médecine qui justifie son rejet concernant les candidates comme étant des ajustements et non de la discrimination, le décès des cinq marines américains qui avait été portés disparus la semaine dernière et enfin des vaccins gratuits proposés aux hommes contre la rubéole pour lutter contre l’épidémie.
Une école de médecine déclare avoir fait des ajustements et non de la discrimination
Hier, les hauts responsables de l’université Juntendô, ont tenu à s’exprimer. D’après eux, le fait d’avoir rejeté certaines candidatures féminines lors des examens d’entrée à la faculté de médecine, constituait un « ajustement ». Ce dernier était fait pour compenser les différences entre les sexes et n’était pas de la discrimination envers les femmes. Ces hauts responsables de Juntendô ont également révélé qu’ils ne réalisaient pas que leurs pratiques consistant à désavantager les femmes et ceux qui échouaient plusieurs fois aux examens d’admission posaient un problème, jusqu’à ce que le ministère de l’Éducation ne le leur dise.
Décès de cinq marines américains
Ce 11 décembre, le Corps des marines a annoncé dans un communiqué la fin de ses opérations de recherche et de sauvetage concernant les cinq marines américains portés disparus. Ils avaient étaient portés disparus après la collision de leur avion la semaine dernière, au-dessus de l’océan, au large du département de Kôchi. Malheureusement, pour expliquer cette décision, le Corps des marines a donc expliqué que ces disparus avait été déclarés morts.
Des vaccins gratuits contre la rubéole
Aujourd’hui, le gouvernement japonais a annoncé qu’il proposerait des vaccins gratuits contre la rubéole. Pendant trois ans, il proposera ces vaccins aux hommes âgés de 39 à 56 ans, qui n’ont pas été vaccinés dans leur enfance, dans un contexte épidémique qui menace de freiner la demande de voyages au Japon. En effet, le nombre de patients atteints de rubéole a atteint 2 454 cette année, soit un chiffre supérieur à celui de 2012, année du début de l’épidémie précédente. Et cette propagation serait principalement due à des hommes non vaccinés appartenant au groupe d’âge ciblé.