Tôkyô demande l’aide des États-Unis afin de sécuriser son système informatique. Cela inclut la possibilité d’engager une cyber-attaque contre les serveurs d’un pays étranger.
Selon une source gouvernementale, des discussions ont lieu pour décider si le Japon doit pouvoir répondre offensivement aux cyber-attaques. L’un des principes constitutionnels du Japon ne lui autorise à répondre aux attaques extérieures que par des moyens pacifiques. Or, s’introduire ou s’attaquer à un réseau informatique étranger contredirait cette norme et représenterait une agression.
Comme les cyber-attaques sont de plus en plus sophistiquées, Tôkyô sollicite l’aide de Washington qui a une technologie de pointe en la matière. Le gouvernement prévoit de former une faction spécialisée dans la cyber-défense au sein de l’armée d’autodéfense japonaise d’ici mars, et étudie le moyen d’y parvenir légalement. Le ministère de la Défense, en collaboration avec d’autres agences gouvernementales, étudient déjà les moyens concrets pour contrer les intrusions informatiques. Un moyen envisagé serait une attaque par « déni de service » qui consiste à inonder un réseau jusqu’à le rendre inutilisable.
Après le rachat des îles Senkaku en septembre 2012, les sites de plusieurs ministères avaient été piratés. La plupart de ces intrusions informatiques provenaient de Chine.
Ne pas oublier la minorité impliqué dans ce genre pouvant être aussi qualifié de terrorisme informatique par le pacifisme et la contrariété des serveurs venant de divers horizons.
Et en français, cela voudrais dire quoi ?… Google translate n’est visiblement pas votre ami cher internaute du Maghreb 😉