Dans la revue de presse de ce mardi 21 janvier 2025, voici nos actualités du Japon : la Nippon Foundation finance l’étude écossaise sur l’oxygène caché dans les mers profondes, la concurrence accrue entre Nissan et Honda, ainsi qu’Ôsaka qui intensifie l’éducation antidrogue face à l’usage croissant du cannabis.
Une découverte inédite
Une étude écossaise financée par la controversée Nippon Foundation révèle l’existence d’une production d’oxygène dans les zones profondes et sombres des océans, jusqu’alors considérées comme dépourvues de lumière et inadaptées à la photosynthèse. Ce phénomène, détecté grâce à des technologies avancées, pourrait bouleverser notre compréhension des écosystèmes marins et de leur rôle dans la régularisation du climat. Les chercheurs soulignent l’importance de poursuivre les investigations pour mieux cerner les implications environnementales et scientifiques de cette découverte inédite. L’Écosse est reconnue pour ses expertises en sciences marines, et elle apporte des contributions scientifiques et technologiques essentielles dans ce domaine.
Restructuration en cours
Nissan met fin à la production de son modèle de fourgon compact après des décennies de succès. La décision s’inscrit dans le cadre d’une révision stratégique plus large visant à concentrer les ressources sur des segments plus rentables, notamment des véhicules électriques. La fin de ce modèle marque un tournant pour la marque, qui cherche à s’adapter aux évolutions du marché automobile mondial. Honda, son concurrent, poursuit son développement sur des marchés similaires avec des modèles mieux adaptés aux nouvelles attentes des consommateurs. La réorientation de Nissan se positionne ainsi dans un contexte où la concurrence devient de plus en plus féroce.
Sensibilisation des jeunes
Face à l’augmentation de l’usage des drogues, en particulier le cannabis, les autorités d’Ôsaka mettent en place un programme éducatif renforcé pour sensibiliser les jeunes aux dangers de la consommation de substances illicites. La police locale, en collaboration avec des experts en santé publique, cherche à prévenir l’addiction et à réduire les comportements à risque. Ce projet fait partie d’un effort plus large pour endiguer la montée des crimes liés aux drogues dans la région.