Dans une interview avec le New York Times, Donald Trump a fait remarqué à la presse et au monde entier que la Première dame, Akie Abe ne savait pas parler un mot d’anglais. Pourtant, il semblerait qu’elle ait cette compétence…
Akie Abe, 55 ans est la femme du Premier ministre japonais Abe Shinzô et par conséquent possède le titre de Première dame. Elle est récemment devenue le centre d’attention de la scène internationale. Pour quelle raison ? Le Président Donald Trump était assis à côté d’elle lors d’un dîner du sommet du G20 en Allemagne plus tôt ce mois-ci. De quoi ont-ils parlé ? En réalité, de presque rien. Comme l’a expliqué Trump lors de son entretien avec le New York Times mercredi : « C’est une femme formidable, mais elle ne parle pas anglais … même pas ‘ bonjour ‘ ». Alors, dans ces circonstances, ils ne se sont rien dit durant près de deux heures.
N’ayant pas échangé un mot, un tel jugement de la part du Président des États-Unis peut sembler compréhensif, d’ailleurs certaines personnes insinuent qu’Abe l’aurait habilement ignoré sans qu’il en soit conscient. Ces personnes soupçonnent sa prétendue ignorance de la langue anglaise afin d’éviter de parler avec Donald Trump. Ces suppositions sont-elles fondées ? La première dame a effectuée sa scolarité dans une école anglophone à Tôkyô et a ensuite travaillé pour Dentsu, une entreprise internationale, où une bonne maîtrise de l’anglais semble essentielle. Des vidéos de discours prononcés en anglais par Akie Abe sont reliées sur le web. Mais a-t-elle vraiment dit à Trump qu’elle ne pouvait pas parler anglais ?