Dans la revue de presse de ce jeudi 28 novembre, nous aborderons : la prochaine rencontre entre le ministre Taro Kono et le général Wei Fenghe, puis la polémique à propos d’un badge pour les employées ayant leurs menstruations, et enfin un accord pour faciliter les contrôles aériens.
Rencontre entre Taro Kono et Wei Fenghe
Le gouvernement japonais prend des dispositions pour une visite en Chine à la mi-décembre du ministre de la Défense Taro Kono pour rencontrer son homologue chinois, le général Wei Fenghe. Ce serait la première visite d’un chef de la défense japonais en Chine depuis mars 2009, ce qui reflète une nette amélioration des relations bilatérales. Kono prévoit d’exprimer les préoccupations du Japon au sujet des activités militaires chinoises dans les mers de Chine orientale et méridionale, et devrait également exhorter la Chine à rechercher une solution pacifique aux troubles à Hong Kong.
Des badges controversés
Un grand magasin japonais est en train de reconsidérer un plan qui consistait à ce que les employées qui ont leurs règles portent un badge un badge portant un personnage de manga existant nommé « Seiri Chan » – traduit librement par « Miss Period ». Cela visait à l’origine à susciter la sympathie entre collègues de travail, mais cela a déclenché un tollé public. Le magasin Daimaru Umeda a reçu de nombreuses plaintes, notamment à propos de harcèlement. L’exécutif de Daimaru a déclaré que le magasin n’avait pas l’intention de rendre l’insigne obligatoire.
Révision des contrôles aériens
La Corée du Sud et le Japon sont en train de redéfinir les responsabilités en matière de contrôle du trafic aérien sur la mer de Chine orientale à la suite de quasi-collisions récentes. La responsabilité dans le « corridor Akara » à travers l’espace aérien sud-coréen est actuellement partagée. Les contrôleurs sud-coréens et japonais opèrent sur des fréquences radio différentes, ce qui rend la communication plus difficile pour les pilotes. Un accord de principe a donc été conclu pour que la Corée du Sud reprenne le rôle du Japon dans les contrôles aériens. La Chine a également été incluse dans l’accord.