Dans la revue de presse de ce vendredi 15 mai, nous aborderons : la réouverture progressive des frontières qui privilégie les hommes d’affaires, puis des masques collectés et redistribués aux personnes âgées, et enfin un adolescent qui dénonce les restrictions aux jeux pour les jeunes.
Une réouverture en premier aux hommes d’affaires
Le ministre des affaires étrangères, Toshimitsu Motegi, a déclaré vendredi que le Japon rouvrira ses frontières par étapes après que le coronavirus aura été maîtrisé. Et les hommes d’affaires seront parmi les premiers autorisés à entrer. Motegi a déclaré que les restrictions de voyage seront levées dans plusieurs pays à la fois, par exemple par groupes de 10, plutôt qu’individuellement. Il a également déclaré que les pays retirés de la liste devraient rendre la pareille. Actuellement il y 16 120 cas d’infections de coronavirus, et il y a eu 697 décès.
Masques distribués aux plus âgés
La livraison de deux masques en tissu à tous les ménages par le gouvernement a commencé dans la région de Tokai, au centre du Japon. Alors un groupe de cette ville a lancé un projet visant à collecter les articles auprès de ceux qui n’en ont pas besoin et à les redistribuer aux établissements d’aide sociale pour les personnes âgées. Des boîtes de collecte des masques seront installées dans les pharmacies, les cliniques et autres institutions. Le groupe acceptera les masques en tissu jusqu’au 30 juin.
Protestation d’un adolescent
A Shikoku, une L’ordonnance prévoit que les enfants ne peuvent jouer en ligne qu’une heure par jour en semaine, et que les enfants de 15 à 18 ans ne soient pas autorisés à utiliser des smartphones après 22 heures. Les règles ne sont que des lignes directrices sans mécanisme d’application, mais un adolescent de 17 ans les a officiellement contestées. « J’ai pensé qu’il était erroné qu’un organe administratif intervienne dans la vie familiale », a-t-il dit. Les directives ne sont pour lui qu’une tentative supplémentaire de restreindre le droit des enfants à s’amuser, qui s’ajoutent à l’interdiction, par exemple, de jouer au ballon sur de nombreux terrains de jeu.