Dans la revue de presse du lundi 31 juillet, nous aborderons : le partenariat avec le Sri Lanka, des hôpitaux en zone inondable, ainsi que l’affaire Tiphaine Veron.
Partenaire privilégié
Le ministre des Affaires étrangères Yoshimasa Hayashi a déclaré que le Sri Lanka était un partenaire clé d’une initiative dirigée par Tôkyô visant à renforcer la sécurité et la coopération économique dans l’Indo-Pacifique. Le Sri Lanka, situé stratégiquement dans l’océan Indien, est essentiel pour la réalisation de ce projet a déclaré Hayashi après une réunion à Colombo avec son homologue sri-lankais, Ali Sabry. L’initiative comprend une assistance japonaise aux économies émergentes, le soutien à la sécurité maritime et une coopération en matière d’infrastructures. Le Japon est le plus grand créancier du Sri Lanka.
Hôpitaux inondables
Près de 30% des hôpitaux, y compris ceux spécialement prévus pour les urgences, sont situés dans des zones inondables. Sur les 765 hôpitaux désignés comme base de secours en cas de catastrophe, 221 sont situés dans des zones à risque. Parmi les 7 406 autres hôpitaux, 2 044 se trouvent également dans de telles zones. Bien que tous les hôpitaux d’urgence soient préparés aux catastrophes, l’accent est davantage mis sur le risque de tremblement de terre, négligeant le risque croissant d’inondations ces dernières années.
Enquête sur Tiphaine Veron
La famille de Tiphaine Veron, disparue au Japon en 2018, renouvelle son appel au Japon pour obtenir plus d’informations sur sa mystérieuse disparition lors de son voyage, alors qu’elle était à Nikkô. Convaincue qu’il ne s’agit pas d’un accident mais peut-être d’un crime, sa famille a publié un livre, l’année dernière, pour exprimer ses difficultés face au système judiciaire japonais. Les autorités locales ont distribué des dépliants afin de recueillir des informations sur la disparue alors que les demandes d’aide de la France n’ont pas abouti. La famille se rendra une nouvelle fois au Japon en septembre.